Darius Milhaud
(1892-1974)
Le boeuf sur le toit, op. 58
en dialogue avec le projet Max Ernst du Musée des Beaux-Arts de Tours
Jean-Christophe Cholet
(1962)
Coex, pour piano et orchestre
Création mondiale, en partenariat avec Jazz à Tours
Leonard Bernstein
(1918-1990)
Danses symphoniques de West Side Story
Maurice Ravel
(1875-1937)
Boléro
Piano : Guillaume de Chassy
Direction musicale : Jean-Yves Ossonce
Orchestre Symphonique Région Centre-Tours
Evénement co-organisé par l’OSRC-T, Jazz à Tours et le Petit Faucheux dans le cadre du festival "Emergences 2009"
Représentations sam 21 nov 2009 à 20h00 • dim 22 nov 2009 à 17h00 le calendrier ›
Prix des places série B • de 7€ à 36€ les tarifs ›
Avant-concert sam 21 nov à 19h00 • dim 22 nov à 16h00 → salle Jean Vilar - Grand théâtre
Présentation du concert
"Le jazz et la grande java symphonique" ! Claude Nougaro n’aurait sans doute pas désavoué le titre, ni la démarche : pour la première fois, l’OSRC-T collabore avec "Jazz à Tours", pour la création d’une oeuvre concertante, autour d’un grand soliste de piano jazz, d’un compositeur réputé, et avec la participation de musiciens de "Jazz à Tours". Cette création, qui a vocation à être reprise, sera le premier temps fort de notre saison.
Milhaud apportera le délire de la farce du Boeuf sur le Toit, ballet sur un argument délirant de Jean Cocteau, qui fleure bon le Paris que connut Max Ernst, dont une exposition importante est présentée au Musée des Beaux-Arts de Tours à partir du mois d’octobre.
Les danses symphoniques de West Side Story sont une suite pour grand orchestre, dans laquelle Bernstein réélabore sa partition, conçue pour la chorégraphie de Jerome Robbins, en évitant d’ailleurs la plupart des "tubes" attendus, popularisés par le film ! Ni "America", ni "Maria" ou "Tonight" ici : il faudra que vous les chantonniez dans la rue vous-même en quittant le concert, si toutefois l’envoûtant Boléro de Ravel ne vous obsède pas, comme il obsède tous les auditeurs depuis la création de ce ballet conçu pour Ida Rubinstein, et bellement servi plus tard par la chorégraphie de Maurice Béjart